Ah tiens, ça faisait longtemps qu’on avait pas pu sortir les bons vieux jeux de mots pourris :
« alors, on vole quand ?… »
« on veut pas des cendres, on veut monter… »
Et comme l’an dernier j’étais resté coincé chez moi à cause d’Eyjåkūldānläfjöll, un peu de justice, mon séjour à Hambourg a été prolongé de quelques heures grâce aux émanations de Gtrömsvëltūlljkåfhjølll Grimsvötn.
J’ai même pu prendre le nuage en photo.